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Rorochasse la passion de la traque et des Beagles

« Depuis que je sais marcher, j’accompagne mon père »

Rorochasse22 traqueur beagles chien courantAmbassadeur Traqueur depuis 3 ans, Ronan, plus connu sous le nom de Rorochasse22 sur Instagram et sur YouTube, s’est entretenu avec nous pour revenir sur son parcours, ses projets et ses idées !

Ronan n’a pas vraiment commencé à chasser puisqu’il est né dedans, depuis qu’il sait marcher il accompagne son père. À propos de cela il déclare : « Dans un premier temps, c’était à la chasse au petit gibier parce que les battues c’est un peu plus compliqué. Et après j’ai commencé à 15 ans à amener les chiens et après c’est parti… » Aujourd’hui, ça fait 12 ans qu’il chasse avec sa meute de Beagles.


Chasser pour la passion du chien

piqueux meute de chiensChasseur dans les Côtes-d’Armor et en Ille et Vilaine, notre ambassadeur pratique la chasse aux chiens courants et traque principalement les sangliers. Il nous explique notamment que cette chasse est destinée aux chiens. Toute l’année ils sont formés et lors des actions de chasse ils retrouvent leur instinct naturel. Ainsi, si l’animal chassé n’a pas été tué ce n’est pas grave. Il réplique : « C’est le travail des chiens le plus important. De voir, le chien chasser c’est impressionnant ! ».

Ronan affectionne une importance à la formation des chiens. En effet, les chiens n’ont pas le même rôle : il y a les leveurs (ou rapprocheurs), eux, ils doivent trouver l’animal puis donner l’alerte et les autres sont chargés de poursuivre l’animal. Ainsi, dans cette traque Ronan est « le chef d’orchestre », il gère la meute et est vigilant à ce que les chiens restent unis


Le rôle de la chasse selon Ronan

traqueur sanglierLors de l’interview, nous avons ensemble discuté de ce que peuvent penser les anti-chasses, à ce propos il affirme : « Le sanglier n’a pas de prédateur. Il n’y a rien qui puisse le réguler à part l’Homme. Par exemple, si tu prends les lièvres ou les lapins, le renard va en manger. Les buses, ils vont en attraper. Les chevreuils, c’est pareil. Le chevreuil ça se reproduit moins vite. Une chèvre, on appelle ça, la maman, elle va faire qu’un ou deux petits. Le sanglier, ça peut faire entre six et dix petits. C’est pour ça, si tu laisses une dizaine de sangliers, l’année d’après t’en as vingt, puis l’année d’après quarante, puis quatre-vingt. Ça monte hyper vite. Et il n’y a rien qui va le réguler à part le loup et les ours, mais à l’heure d’aujourd’hui, tu ne t’imagines pas retrouver un loup ou un ours dans un lotissement ! ».


« C’était magnifique et c’est mon plus beau souvenir de la saison »

chasseur gros gibierNous l’avons également questionné sur son meilleur souvenir cette saison. Il nous raconte : « Cette année, j’ai fait une super traque sur un sanglier. J’étais content parce qu’il n’avait pas été tiré, il s’est sauvé de la traque. On l’a chassé pendant une heure, on a fait une super chasse et pourtant, il n’a pas été tué. Je l’ai vu plusieurs fois dans la traque et au final, tout le monde était content, les chasseurs étaient contents, ils n’ont même pas tiré. Tout le monde a apprécié entendre les chiens, la musique, c’est ce qu’on appelle la musique des chiens. C’était magnifique et c’est mon plus beau souvenir de la saison. ».


Son aventure qu’il partage…

Notre ambassadeur partage depuis 5 ans sa passion sur les réseaux sociaux mais également à travers des vidéos disponibles sur YouTube. Aujourd’hui, il compte 12 400 abonnés sur YouTube ; 3 000 sur Facebook et 3 000 sur Instagram. Dans un premier temps, il nous a raconté comment il s’est lancé sur YouTube : « Au tout début je faisais comme tout le monde, je regardais des vidéos de chasse sur YouTube. Je suis un passionné du chien courant et je voyais que du tir, on ne voyait jamais le travail du chien. Et moi, le travail du chien, c’est ce que j’aime le plus et c’est pour ça que je me suis lancé sur les réseaux sociaux. ». Puis il nous a expliqué que pour ses vidéos il était accompagné de son père et de son frère pour filmer, il obtient ainsi des images pouvant durer en tout jusqu’à 2h. Ensuite commence un long travail de sélection des images intéressantes et en adéquation avec le déroulé de la chasse. L’objectif est de sortir une vidéo qui dure entre 10 et 20 min, ce qui représente de nombreuses heures de montage qu’il fait lui-même sur Movie Maker.

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